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Delphine
Publisher Description
Je serai trop heureuse, ma chère cousine, si je puis contribuer à
votre mariage avec M. de Mondoville; les liens du sang qui nous
unissent me donnent le droit de vous servir, et je le réclame avec
instance. Si je mourois, vous succéderiez naturellement à la moitié de
ma fortune: me seroit-il refusé de disposer d'une portion de mes biens
pendant ma vie, comme les lois en disposeraient après ma mort? A vingt
et un ans, convenez qu'il seroit ridicule d'offrir mon héritage à vous
qui en avez dix-huit! Je vous parle donc des droits de succession,
seulement pour vous faire sentir que vous ne pouvez considérer le don
de la terre d'Andelys comme un service embarrassant à recevoir, et
dont votre délicatesse doive s'alarmer.