Bad Man
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Publisher Description
Révélation !Bad Mansigne l'entrée fracassante de Dathan Auerbach dans l'arène des maîtres du suspense et de l'angoisse en successeur de Stephen King.
On dit que, passé quarante-huit heures, les chances de retrouver une personne disparue sont quasi nulles. Deux jours pour ratisser les bois alentour, frapper à toutes les portes, remuer ciel et terre. Passé ce délai, l'espoir n'est plus permis.
Eric, trois ans, a disparu il y a cinq ans. Peu à peu, les affichettes ont jauni, les policiers se sont désintéressés de l'affaire, la vie a repris son cours dans cette petite ville désaffectée de Floride.
Pas pour Ben, le grand frère de la victime. Qui ne s'est jamais remis du drame. Qui a vu sa famille sombrer. Mais qui n'a jamais cessé ses recherches.
Recruté en tant que magasinier de nuit dans le supermarché même où Eric a disparu, Ben sent que les lieux ont quelque chose à lui révéler. Quelqu'un sait où est son frère, une personne qui prend un malin plaisir à se jouer de lui. Qui ? Le directeur qui n'a jamais collaboré à l'enquête ? Ses collègues auxquels il a accordé trop vite sa confiance ? Mais il y a plus que ça, une présence impalpable, diffuse, qui brouille ses pensées... Qui est ce bad man dont l'ombre inquiétante plane sur la ville ?
PUBLISHERS WEEKLY
Auerbach follows his first novel, 2012's Penpal, with a dark and disturbing horror thriller set in the Florida Panhandle. One day, 15-year-old Ben takes his three-year-old brother, Eric, to a local grocery store, where Eric drops his stuffed rhino, Stampie, into a restroom toilet. While Ben is cleaning Stampie, Eric vanishes. Five years later, Ben is working as a night stocker in the same store that Eric disappeared in and remains intent on finding his brother. When a coworker informs Ben that he saw Eric months earlier, Ben's obsession becomes manic and he begins seeing others including his manager, the old woman who runs the bakery, and a coworker as potential conspirators. Readers will be reminded of the young Stephen King (the store's baler, for example, evokes King's industrial laundry press machine in "The Mangler"), but the story unravels at the conclusion, with one too many strained sequences. The novel's rich imagery suggests Auerbach is capable of doing better next time.