Lacan et la chose japonaise Lacan et la chose japonaise

Lacan et la chose japonaise

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Descripción editorial

Rien chez Freud ne permet d’établir un lien spécial entre la psychanalyse et le Japon. Il n’en est pas de même chez Lacan. Dès la première leçon de son Séminaire, Lacan fait référence, à propos de l’émergence du sens dans l’expérience analytique, au maître bouddhiste de la tradition japonaise. Une dizaine d’années plus tard, au retour d’un voyage au Japon et alors qu’il traite de l’angoisse, il dit sa découverte des grandes œuvres de la statuaire des temples de Kyoto ou de Nara. Et au cours des années soixante-dix, par exemple dans le Séminaire « D’un discours qui ne serait pas du semblant », son intérêt se spécifie encore — c’est la langue japonaise et son écriture qui le mobilisent. Du coup, la place du Japon par rapport au Champ freudien se modifie. Elle n’est plus celle — externe — d’une référence culturelle, mais se retrouve au cœur même de l’expérience analytique. Lacan lui donne alors son nom : la Chose japonaise.

GÉNERO
Salud, mente y cuerpo
PUBLICADO
1988
1 de enero
IDIOMA
FR
Francés
EXTENSIÓN
116
Páginas
EDITORIAL
Seuil (réédition numérique FeniXX)
TAMAÑO
683,1
KB