Avoir le courage de ne pas être aimé: Le phénomène japonais qui vous montre comment changer votre vie et atteindre le vrai bonheur (Unabridged)
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4,1 • 16 notes
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- 15,99 €
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Description de l’éditeur
Chers auditeurs ! Nous avons pris en compte vos commentaires, notre équipe a révisé et modifié les dialogues.
Best-seller mondial avec plus de 3,5 millions d’exemplaires vendus !
Vous arrive-t-il d'avoir des pensées et des attitudes néfastes ? Vous sentir bloqué dans votre vie ? Pas de stress, le livre audio « Avoir le courage de ne pas être aimé » vous aidera à prendre votre vie en main.
En s'appuyant sur les théories d'Alfred Adler, l'un des trois géants de la psychologie du début du XXe siècle aux côtés de Freud et de Jung, ce livre suit une conversation éclairante entre un philosophe et un jeune homme. Le philosophe explique à son élève comment chacun d'entre nous est capable de déterminer sa propre vie, sans les entraves des expériences passées, des doutes et des attentes des autres. C'est une façon de penser profondément libératrice, nous permettant de développer le courage de changer et d'ignorer les limites que nous et les personnes qui nous entourent peuvent nous imposer.
Après avoir écouté ce livre audio, vous aurez appris :
●Pourquoi les traumatismes n’existent pas ;
●Qu’est-ce que la liberté ;
●Comment devenir plus courageux ;
●Pourquoi tous nos problèmes sont des problèmes de relations interpersonnelles ;
●Comment vivre ici et maintenant ;
Et beaucoup plus encore !
Selon la psychologie adlérienne, les gens peuvent changer et être heureux à partir de cet instant, mais cela prend du courage. Êtes-vous prêt à commencer le processus de changement pour une vie meilleure et pleine de joie ? C’est parti !
Original title: Kirawareru Yuki
Avis d’utilisateurs
Que d’inepties !
Je regrette d’avoir dépensé 15€ pour entendre de telles bêtises. Mais je ne m’étonne pas du succès du livre. Il vient toucher nos fantasmes de contrôle sur notre vie.
Il diabolise l’étiologie et veut faire croire que les psy à tendance psychanalytique ne s’intéressent qu’au passé et se contentent de constater les effets du vécu sur le patient pour conclure que « c’est pas de sa faute » comme il est dit subtilement dans le livre. C’est ridicule. En réalité , ce qu’on peut faire de positif malgré ou avec son passé représente l’objectif du travail. Justement, ne pas s’enfermer dans les répétitions névrotiques et les effets délétères des traumas.
Y’a qu’à , faut qu’on !!! Que d’illusions , mais ça fait rêver , on a envie d’y croire. Si c’était comme ça, ça se saurait non ?