Angéline de Montbrun
Description de l’éditeur
Chère Mina,
Je l'ai vue-j'ai vu ma Fleur des Champs, la fraîche fleur de Valriant,-et,
crois-moi, la plus belle rose que le soleil ait jamais fait rougir ne mériterait
pas de lui être comparée. Oui, ma chère, je suis chez M. de Montbrun, et je
t'avoue que ma main tremblait en sonnant à la porte.