Cher c*****d
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3,6 • 123 notes
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- 8,99 €
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Description de l’éditeur
« Cher connard,
J’ai lu ce que tu as publié sur ton compte Insta. Tu es comme un pigeon qui m’aurait chié sur l’épaule en passant. C’est salissant, et très désagréable. Ouin ouin ouin je suis une petite baltringue qui n’intéresse personne et je couine comme un chihuahua parce que je rêve qu’on me remarque. Gloire aux réseaux sociaux : tu l’as eu, ton quart d’heure de gloire. La preuve : je t’écris. »
Après le triomphe de sa trilogie Vernon Subutex, le grand retour de Virginie Despentes avec ces Liaisons dangereuses ultra-contemporaines.
Roman de rage et de consolation, de colère et d’acceptation, où l’amitié se révèle plus forte que les faiblesses humaines…
Avis d’utilisateurs
Vas-y Virgy
Il me semble que ça reste un livre important rien que pour la leçon et solution de décrochage. J’ai aimé aussi celui de Zoé qui écrase en douce les contradiction féministes. Mais par dessus tout, qd VD tombe sur l’SNCF je pense que l’on déboule dans l’essentiel; il y aurait tant de choses importantes que la grande littérature pourrait pointer et régler et Virgy est parfaite pour cela. C’est elle la Présidente.
Dommage que apple ait encore tant de soucis à rendre l’expérience agréable ( justification limitée par taille des caractères, place sur le plein écran totalement insensée, prise de notes ou sur lignage non réactif etc….) très envie de le relire en version papier plutôt que de donner des fonds à ceux qui prétendent faire ce qu’ils font médiocrement.
Un voyage au travers de l’esprit humain, nos divergences, la société d’aujourd’hui
C’est le premier livre de Virginie Despentes que je lie. J’en ai feuilletait d’autres en librairie mais le style narratif ne me plaisait pas. Sur celui-ci j’ai bien aimé le style choisi (épistolaire) qui permet de faire un romane à 3 voix bien distinctes. Le style est hyper facile. En dehors des réflexions sur la société, le genre, la position manichéenne, le choix de ces 3 voix permet à l’auteur (autrice pour ceux et celles qui le souhaitent) de voir toutes ces questions se confondre. Les âmes grises comme dirait Philippe Claudel.
Me too…
Très chiant…