J'apprivoiserai ton mal

J’ai découvert AiMe B. sur Wattpad, je l’ai dévoré du début à la fin et je le dévore encore aujourd’hui. Je l’ai déjà lu un bon nombre de fois, et l’avoir entre mes mains aujourd’hui est un énorme plaisir ! Une sorte de « consécration » personnelle en tant que lectrice.
Dès ma première lecture, j’ai été embarquée par la personnalité de Bastien. Son caractère, ses bagages... il a tout du personnage qui me séduit en général. Un « écorché vif » comme on dit. C’est le genre de personnage qui peut nous rendre chèvre, mais qu’on a envie de prendre dans nos bras et pour qui on aimerait plonger dans l’histoire pour le guider et le protéger. Grâce (ou à cause de lui ?), je suis passée par tout un tas d’émotions ! Je me suis énormément attachée à lui. Et le fait que l’histoire soit racontée uniquement de son PDV ajoute un côté mystérieux au personnage de Morgan. Ce dernier m’a tout de suite intriguée. Je suis une amoureuse de Baba, mais j’ai adoré découvrir cet avocat sexy et sa vie plus compliquée qu’il n’y paraît. Lui aussi m’a fait ressentir beaucoup de choses contradictoires, mais j’ai aimé être ballottée par les suspicions et l’envie de dénicher ses secrets.
Leur relation est secouée, compliquée, mais la force de leur amour se ressent. Malgré une fin qui donne envie d’aller trouver l’auteure pour qu’elle nous file la suite sur le champ, on sent que l’amour peut être plus fort que tout. Alors, nous n’avons qu’une hâte : que la suite nous le confirme !
Comme le dit souvent Sonia sur ses réseaux sociaux, elle est une amoureuse de l’amour. Et ça se ressent dans chacune de ses histoires, dans sa plume, et surtout, ici, avec Bastien et Morgan. Il peut être compliqué oui, mais fort, puissant et magnifique. L’amour n’a pas de sexe ni de genre... Cette superbe histoire nous le prouve. Avec des personnages complets et hauts en couleurs.
Je n’ai rien à redire, si ce n’est que ce premier tome est un coup de cœur.

Commence assez bien d’une écriture brouillonne mais rapide puis cela s’alourdit se répète de coq à l’âne en stéréotypes et finit dans l’ennui lourd. Dommage