Le Serpent et le Descendant de la Nuit

Découvrez le phénomène TikTok pour les fans de Dark Fantasy et de romance déchirante pleine de mordant !
Vampires comme humains, notre survie dépend de ces trois règles : toujours se méfier, toujours s’accrocher, et toujours, toujours protéger son cœur.

Oraya, fille adoptive et humaine du roi vampire des Descendants de la nuit, a dû se créer une place dans un monde fait pour la détruire. Participer au Kejari, le légendaire tournoi organisé par la déesse de la Mort elle-même, représente sa seule chance de devenir autre chose qu’une proie.

Face aux plus féroces guerriers venus des trois Maisons vampiriques, la victoire est loin d’être facile. Pour survivre, Oraya va devoir s’allier à un mystérieux rival : Raihn.

Raihn est le danger incarné. En plus d’être un vampire impitoyable, un tueur hors pair et un ennemi de la Couronne, il est surtout le plus grand de ses adversaires. Mais ce qui effraie le plus Oraya, c’est peut-être l’étrange attirance qu’elle ressent pour lui.

Dans un monde où la compassion n’a pas sa place et où la guerre menace de déchirer la Maison de la nuit, Oraya va voir toutes ses certitudes voler en éclats.

Quand Hunger Games rencontre Le Sang et la Cendre dans un page-turner unique ! Vous y trouverez une héroïne combative, un tournoi mortel, des ennemis forcés de s’allier, des clans vampires rivaux, beaucoup d’action et une romance slow burn.

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« Une romance fantasy épique et magnifique. J'en ai aimé chaque mot, chaque personnage, chaque épreuve, chaque baiser. » - Olivia Wildenstein, autrice best-seller des séries Malédictions mortelles et Les Anges d'Elysium

« Incroyable ! Une Romantasy comme je les aime ! Un mélange entre ACOTAR, Nevernight et Hunger Games! Gros coup de cœur » - Nina Quill, blogueuse

« Un univers riche et sombre où Oraya aura fort à faire pour survivre au tournoi [...]. Attention coup de cœur, avec montagnes russes assurées pour les émotions du lecteur. Une pépite du genre !!! On avale les pages sans même s'en apercevoir... » - Karline, du blog Un brin de lecture