L'Espace d'un an
Les Voyageurs, T1
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- 2,99 €
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Description de l’éditeur
Premier volume des « Voyageurs », série lauréate du prestigieux prix Hugo, L’Espace d’un an signe les débuts de Becky Chambers, dont la plume et les récits ont bouleversé la science-fiction.
Rosemary, jeune humaine inexpérimentée, fuit sa famille de richissimes escrocs. Elle est engagée comme greffière à bord du Voyageur, un vaisseau qui creuse des tunnels dans l’espace, où elle apprend à vivre et à travailler avec des représentants de différentes espèces de la galaxie : des reptiles, des amphibiens et, plus étranges encore, d’autres humains.
La pilote, couverte d’écailles et de plumes multicolores, a choisi de se couper de ses semblables ; le médecin et cuistot occupe ses six mains à réconforter les gens pour oublier la tragédie qui a condamné son espèce à mort ; le capitaine humain, pacifiste, aime une alien dont le vaisseau approvisionne les militaires en zone de combat ; l’IA du bord hésite à se transférer dans un corps de chair et de sang...
Les tribulations du Voyageur, parti pour un trajet d’un an jusqu’à une planète lointaine, composent la tapisserie chaleureuse d’une famille unie par des liens plus fondamentaux que le sang ou les lois : l’amour sous toutes ses formes.
« Un tour de force humain d’une profonde douceur, qui s’attaque aux questions de genre et de politique sans se départir de son délicieux optimisme. » - The Guardian
Avis d’utilisateurs
Très sympathique
Très bien écrit et très différent du style SF classique
J’ai du mal à aller au bout…
…et je ne lirai pas la suite.
Il y a des descriptions d’ET plutôt bien faites, un peu à la David Brin (Élévation).
Et… c’est tout. Une histoire plate, et quand on voit l’ombre d’un rebondissement, c’est fini deux pages plus loin.
Décidément, je ne vois pas comment ce livre a pu être Prix Hugo…
Critiquamateur
Bof. La surabondance de néologismes nuit à la fluidité du récit qui se révèle sans aucun intérêt, l’auteure ayant simplement transposé dans un univers intergalactique fantaisiste (SF oblige) les grands maux de nos sociétés : racisme, xénophobie, eugénisme, recherche du profit, lutte pour la possession des matières premières, pollution.