L'ordre du jour
-
- 6,49 €
-
- 6,49 €
Description de l’éditeur
L’Allemagne nazie a sa légende. On y voit une armée rapide, moderne, dont le triomphe parait inexorable. Mais si au fondement de ses premiers exploits se découvraient plutôt des marchandages, de vulgaires combinaisons d’intérêts ? Et si les glorieuses images de la Wehrmacht entrant triomphalement en Autriche dissimulaient un immense embouteillage de panzers ? Une simple panne ! Une démonstration magistrale et grinçante des coulisses de l’Anschluss par l’auteur de Tristesse de la terre et de 14 juillet.
L’AVIS D’APPLE BOOKS
Eric Vuillard continue de se pencher avec brio sur les coulisses de l’Histoire. Ce bref récit nous éclaire cette fois-ci sur la logique souterraine qui a permis d’installer le régime hitlérien au pouvoir. Il aborde de front un sujet tabou : les liens entre industriels allemands et le chancelier. Dans un style tendu, nerveux, efficace, Eric Vuillard réussit une nouvelle fois son pari d’être, grâce à la fiction, au plus près de la vérité.
Avis d’utilisateurs
Portes ouvertes
Je ne vois pas ce que ce livre apporte de nouveau (à part quelques anecdotes).
Il enfonce des portes ouvertes à longueur de page :
Le financement par les industriels allemands, ça fait 50 ans que j'en entend parler. Idem pour les sourires autrichiens au moment de l'anchluss, et pour la cécité des chancelleries française et anglaise (Munich est presque devenu un nom commun).
Je trouve l'écriture maniérée.
Je m'explique mal les raisons qui ont poussé à sélectionner ce livre (l'air du temps j'imagine!)
Le temps devrait se charger de remettre ce Goncourt à sa vrai place.
Un peu déçu
Intéressant. J’attendais plus d’un livre encensé par la critique
Un récit prenant, parfois un peu pédants
Le début - la tentative de récit de la fameuse réunion - est un peu chichiteux dans sa volonté de faire littéraire. Ces changements de temps perpétuels et ce enieme degré ont quelque chose d’affecté. On préfère et de loin quand la mordante ironie prend le dessus et que le ton direct du récit fait exister les événements dans toute leur force. Quelque part, ça enfonce un peu des portes ouvertes mais avec brio et conviction. Est-ce que c’est un récit militant, une condamnation du capitalisme sans scrupule ? Alors M. Vuillard qu’attendez-vous pour dénoncer les crimes actuels du CAC 40 et de la finance ?