Une nation pour germanistes

Le dérèglement révolutionné

Le problème de la raison qui ne trouve jamais d’explication ou de justification – problème typique de chez nous – est des choses qui fonctionnent en automatique dans la construction sociale, sans plus de raison. Il n’y a pas d’apport neuf de la raison, avec de nouveaux arrivants, des nouveaux venus dans le jeu de la raison de la société, toute lumière, les citoyens, les jeunes, les-qui-grandissent, les autres et tous. S’il y a lors rupture, fracture, là l’on patche, de trouvailles éprouvées de trucs de-déjà-là, comme si l’on thésaurisait un tour au lieu de terroriser quoi, “Truc à Thésaurisé !”, — attends. Le problème, qui aurait du truc là raison du langage ou une jalousie de culture, est le problème sur cet automatique, exemple sur tout sujet. Semblable pareil autre différence
À lettre P, la poésie, il y eut conscience. Arrivés en 2025, c’est le problème qui est laissé, encore, sans raison, à ne pas être lu, « à jeter 1 ». Argent ou sublime ès transe, eh bien l’automatique se déplace. L’application au réel, le sens du mot « automatique » reste, il reste et resterait ? L’automatique n’est plus le mode de fonctionnement social, mais “il y a” de l’ « automatique » dans la poésie, dans ces vers. « voilà, c’est de l’automatique ! » Cela est normal, c’était laissé à perte. Il y a une confusion entre le rythme et la rime 1 d’une part, et d’autre part « automatiquement » dirait-on, si ça paraît là c’est à mettre au compte de l’avoir tellement laissé aller en négligence que, de toute façon, c’est bien normal. Naturellement, systématiquement ou forcément, c’est automatique. L’automatique, de sa valeur qui est néfaste telle qu’elle a été traitée : pas qu’une machine, un mode de fonctionnement en société, sa valeur mal se déplace sur la poésie. « C’est de l’avenir, peut-être, c’est mal, pfuit, oubliez, enfouissez-vous cela sous les jupes de votre maîtresse. "Ma ariænne" est bonne glaneuse, elle est Bonn• Accueil, hein ? Voilà. »
Déplacer le bien et le mal en les déplaçant sans les différencier, en employant les mots outils que seraient les mots, déplacer les valeurs ainsi, se pense comme la sueur, se répand comme la sueur et autres fluides. Une certitude est à ce fonctionnement absolument pas la même valeur. On peut être dans les mêmes mondes physiques. Rien À Voir. Dans un système pareil la différence absolue des valeurs est prévisible, mais l’inégalitarisme et l’autre sens des réalités n’est bon à faire qu’à ne pas compter sur autre chose que ce faire et à quoi j’œuvre.
Un pays qui part de si bas pour aller prétendument oh si haut n’est pas une ambition à laquelle adhérer mais correspond à des idées « révolutionnaires de l’époque ». Ce n’est pas leur langue, quand je l’écris. Ce n’est pas leur argent, quand je le gagne. Ce n’est pas leur famille, quand je la fais, la fonde. Ce n’est pas leurs corps, quand j’aime. Ce n’est pas ça.

Le Poète Est Cuit

Il y en a formé à lire et écrire ainsi, tout problème du code pensé selon lecture. C’est aussi le problème de ne pas parler du code, ou après alors avoir écrit un poème sur ceux qui ne savent pas lire, poème difficile à écrire.
La logique de qui cherche pourquoi laisser faire ça, finalement assez, laisse-faire sans rien, se peut penser largement en digestion & ventre, de sensations. Gens à écouter la moindre petite sensation déplacée de leur corps, la petite amertume, oh logée sur le non pas au centre nombril mais légèrement côté flanc droit, han que cela signifie han gens très pincés à vrai vécu ainsi comporté qui est un véritable parti-pris, une pose, comme si ça signifiait la moindre chose qui vaille être sue, suivie. Voire les maladies dans lesquelles ils meurent finalement. On peut y mettre son corps, même si ça signifiait quelque chose, cette préciosité qui n’est pas « de femme », même si c’était significativement réel, ils ne l’ont jamais rationalisé, mais est pour le suivi de leur affaire, de leur argent, de leur urgent, de leur gros faire pour lequel il y a des gros maux et voilà tout. T’es où nan est. Hein ? Ouais. Ben… on n’a plus de batterie… Voilà. Hé••