Va et poste une sentinelle
roman traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Pierre Demarty
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- 7,99 €
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Description de l’éditeur
Jean Louise Finch, dite « Scout », l’inoubliable héroïne de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, est de retour dans sa petite ville natale de l’Alabama, Maycomb, pour rendre visite à son père, Atticus. Vingt ans ont passé. Nous sommes au milieu des années 1950, et la nation se déchire autour des questions raciales. Confrontée à la société qui l’a façonnée mais dont elle croit s’être affranchie en partant vivre à New York, Jean Louise va découvrir ses proches sous un jour inédit…
Chronique douce-amère de l’adieu à l’enfance, entre tendresse et férocité, espoir et désenchantement, révolte et révélations, Va et poste une sentinelle est le deuxième roman de l’auteur de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur mais fut écrit avant son livre culte, prix Pulitzer en 1961. Si sa publication constitue aujourd’hui un événement majeur, ce n’est pas seulement parce qu’il aura fallu attendre plus d’un demi siècle pour connaître son existence, ni parce qu’il a d’ores et déjà battu tous les records de ventes (plus d’1,1 million d’exemplaires en une semaine lors de sa parution aux États-Unis), mais aussi, et surtout, parce qu’il s’agit d’un grand livre, puissant, émouvant, dérangeant : un troublant miroir tendu à un monde qui, malgré le passage du temps, nous parle toujours du nôtre.
Avis d’utilisateurs
Superbe
La suite tant attendue de "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur". Émouvant.
Un peu décevant...
Un peu décevant, car après le premier tome (ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, publié 50 ans plus tôt) qui est un véritable chef d’œuvre, on s’attend forcément à (beaucoup) mieux...
Je ne crois pas non plus à la théorie (de l’auteur) comme quoi elle l’aurait eu écrit avant ce premier tome. Cela justifie seulement quelques emprunts (quasiment mots pour mots) au début et une autre fin au fameux procès du tome 1, mais sinon ça ne tient pas debout. Le livre a de toute évidence été écrit après, je ne saurais pas dire quand, mais là n’est pas vraiment la question.
L’histoire est un peu longuette et le charme de l’enfant de 9 ans qui raisonne comme un adulte de 25 (au tome 1) ne fonctionne pas dans l’autre sens au tome 2; même si les nombreux flashbacks nous renvoient par moment dans l’univers plaisant du premier livre.
Je ne veux pas non plus être trop sévère, car ma déception est certainement liée à des attentes trops élevées, liées à « ne tirez pas sur l’oiseau moqueur », mais si vous avez le choix entre les deux, pas d’hésitations à avoir.