La Cité des Djinns
Une année à Delhi
-
- £8.99
-
- £8.99
Publisher Description
Thomas Cook Travel Book Award
Lors d’un premier séjour en Inde à l’âge de dix-sept ans, William Dalrymple découvre Delhi. Cette grande capitale le fascine. Il prend conscience que cet endroit recèle son cortège de richesses et d’horreurs. Cinq ans plus tard, il y revient et y voit le sujet d’un livre : le portrait d’une ville disloquée dans le temps. Des ruelles étroites de la vieille ville aux avenues plus larges de New Delhi, il déambule dans des lieux sous lesquels seraient englouties sept villes mortes. Ses larges artères englobent un cimetière de dynasties. Delhi est vouée à sans cesse renaître de ses cendres, à connaître de nouvelles incarnations, de siècle en siècle. Les djinns, autrement dit les esprits, hantent chaque maison, chaque coin de rue. Ils aiment tant Delhi qu’ils ne peuvent supporter de la voir vide et désertée, c’est ce que révèle à l’auteur un sage.
William Dalrymple a passé quatre ans à Delhi après 1989. Il nous propose un panorama de la vie dans cette ville. L’historien revient sur l’époque de la colonisation britannique et s’attache au devenir des extravagantes constructions impériales anglaises. Le journaliste, le voyageur, quant à lui, friand de contacts humains, nous livre une galerie de portraits des habitants du Delhi d’aujourd’hui, dans leur incroyable diversité.
Historien et journaliste écossais, William Dalrymple parcourt l’Orient depuis une vingtaine d’années. Spécialisé dans la littérature de voyage, il est l’auteur de six livres parmi lesquels Le Moghol Blanc (Noir sur Blanc, 2005) qui a remporté, entre autres, le prestigieux Wolfson Prize for History. La Cité des Djinns (Noir sur Blanc, 2006) a reçu le Thomas Cook Travel Book Award. William Dalrymple est membre de la Royal Society of Literature et de la Royal Asiatic Society. Il vit avec sa femme et leur trois enfants entre l’Écosse, Londres et New Delhi.
« Pour qui a le goût de l’échappée lointaine et aventureuse, William Dalrymple est un modèle. » (Le Figaro magazine)