Sagesse

Sagesse

Paul Verlaine, poète français (1844-1896)


Ce livre numérique présente «Sagesse», de Paul Verlaine, édité en texte intégral. Une table des matières dynamique permet d'accéder directement aux différentes sections.


Table des Matières

-01- Présentation

-02- Préface de la première édition

-03- I.  Bon chevalier masqué qui chevauche en silence… 

-04- II.  J’avais peiné comme Sisyphe… 

-05- III.  Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ?…  

-06- IV.  Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême…  

-07- V.  Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles…  

-08- VI.  Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies…  

-09- VII.  Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme… 

-10- VIII.  La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles…  

-11- IX.  Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie !… 

-12- X.  Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !… 

-13- XI.  Petits amis qui sûtes nous prouver…  

-14- XII.  Or, vous voici promus, petits amis… 

-15- XIII.  Prince mort en soldat à cause de la France…  

-16- XIV.  Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons…  

-17- XV.  On n’offense que Dieu qui seul pardonne. Mais…  

-18- XVI.  Écoutez la chanson bien douce…  

-19- XVII.  Les chères mains qui furent miennes…  

-22- XX.  L’ennemi se déguise en l’Ennui…  

-23- XXI.  Va ton chemin sans plus t’inquiéter !…  

-24- XXII.  Pourquoi triste, ô mon âme…  

-25- XXIII.  Né l’enfant des grandes villes… 

-26- XXIV.  L’âme antique était rude et vaine…  

-27- I.  Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour 

-28- II.  Je ne veux plus aimer que ma mère Marie 

-29- III.  Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret 

-31- I.  Désormais le Sage, puni 

-32- II.  Du fond du grabat 

-33- III.  L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable 

-34- IV.  Je suis venu, calme orphelin  

-35- V.  Un grand sommeil noir  

-36- VI.  Le ciel est par-dessus le toit 

-37- VII.  Je ne sais pourquoi 

-38- VIII.  Parfums, couleurs, systèmes, lois ! 

-39- IX.  Le son du cor s’afflige vers les bois 

-40- X.  La tristesse, langueur du corps humain 

-41- XI.  La bise se rue à travers 

-42- XII.  Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées ! 

-43- XIII.  L’échelonnement des haies 

-44- XIV.  L’immensité de l’humanité 

-45- XV.  La mer est plus belle 

-46- XVI.  La « grande ville ». Un tas criard de pierres blanches 

-47- XVII.  Toutes les amours de la terre 

-48- XVIII.  Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit 

-49- XIX.  Parisien, mon frère à jamais étonné 

-50- XX.  C’est la fête du blé, c’est la fête du pain