Banquet du 17 janvier 1841
Descripción editorial
Representons-nous l'homme comme la derniere gaine, comme le dernier pointvisible par lequel des nuees d'esprits agissent invisiblement. Ces masses d'esprits armees sont tres diverses, car l'esprit de l'homme, que dis-je, l'esprit de chaque creature doit s'accorder avec eux pour former une certaine harmonie prescrite par le decret du Tres-Haut.