Le secret de Picasso

Nous sommes en 1998. La brocanteuse Madame Claudel se trouve au Marché aux Puces de Paris, la source de beaucoup de ses trouvailles. Un tableau sans signature saisit son attention par la force qu’il émane. Après des années et de nombreuses aventures, la brocanteuse découvre que le tableau, qu’elle avait acheté pour quelques francs, est la toile perdue de la première exposition de Picasso à Paris, en 1901. La recherche pour rassembler assez de preuves et obtenir la certification officielle commence. 

On arrive à la conclusion que Pablo Picasso avait peint ce tableau en pleine confusion de sentiments, après la plus grande tragédie vécue dans sa jeunesse : son meilleur ami, épris de lui d’un amour fou, était mort dans les pires circonstances.

Il y a dans la narration, basée sur des faits réels, deux récits séparés dans le temps : celui de l’histoire réelle des évènements, lequel eut lieu à Paris, à Barcelone et à Malaga et favorisa la réalisation du tableau, et celui de l’investigation actuelle de l’expert, également véridique. Les deux rapports s’alternent au four et à mesure que les faits historiques corroborent le cours de l’enquête.