L'Homme qui plantait des arbres
Nouvelle édition illustrée avec les lettres Ogham de l'alphabet de l'arbre celtique
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- $1.99
Publisher Description
► Avec les lettres celtiques de l'alphabet ogamique des arbres utilisés par les druides
► Accompagné par de plus de 60 illustrations
► Disponible aussi en édition bilingue avec texte en regard
► Objets de collection et à des fins éducatives
L'homme qui plantait des arbres : histoire d'un berger qui deviendra par la suite apiculteur, qui au prix d'efforts constants, parvient à reboiser seul une vallée aride au pied des Alpes (en Provence, près du village de Vergons) durant une cinquantaine d’années au début du XXe siècle.
L'histoire commence en 1913, lorsque le jeune narrateur entreprend une randonnée sur les pentes provençales des Alpes. Une vallée déserte, sans arbre, où seule la lavande sauvage pousse. Sans eau, le garçon rencontre un berger avec son troupeau de moutons, qui lui offre de l'eau de sa gourde. L'homme vit seul, isolé du reste du monde et passe ses journées à planter des arbres. Les deux hommes deviennent amis et le protagoniste lui rendra régulièrement visite pour le reste de sa vie.
L'histoire est si touchante que de nombreux lecteurs ont cru que le personnage principal, Elzéard BOUFFIER, était une personne réelle et que le narrateur était Jean Giono lui-même, de sorte que l'histoire était en partie autobiographique. En fait, l'auteur est censé avoir vécu à l'époque où se déroule l'histoire. L'auteur explique, dans une lettre de 1957, à un représentant de la ville de DIGNES .Qu' « Elzéard Bouffier est un personnage inventé. Le but était de faire aimer l'arbre ou plus exactement faire aimer à planter des arbres ».
La nouvelle véhicule de nombreux messages : écologiques, humanistes, politiques. L'histoire d'Elzéard BOUFFIER est en effet considérée dans la littérature écologiste comme une parabole de l'action positive de l'homme dans son milieu naturel et de toute l'harmonie qui peut en découler. La nouvelle est également une ode au travail, à l'opiniâtreté, à la patience, à l'humilité et à la ruralité.
L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnue comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse, elle est à ce titre étudiée en classe.
L'œuvre est inscrite dans la liste recommandée par le ministère de l'Éducation nationale français, pour le cycle 3 (Enfants âgés de 8 ans), depuis 2002.