Oeuvres de Victor Hugo
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Description de l’éditeur
48 Oeuvres de Victor Hugo
Ce livre numérique présente une collection des oeuvres majeures de Victor Hugo éditées en texte intégral. Une table des matières dynamique permet d'accéder directement aux différentes oeuvres.
Liste des oeuvres:
- 1822 - Premières publications
- 1826 - Bug-Jargal
- 1826 - Odes et Ballades
- 1829 - Le dernier jour d'un condamné
- 1829 - Les Orientales
- 1830 - Hernani
- 1831 - Les feuilles d'automne
- 1831 - Notre Dame de Paris
- 1833 - Han d'Islande
- 1834 - Claude Gueux
- 1834 - Philosophies mêlées
- 1837 - Les voix intérieures
- 1840 - Le retour de l'empereur
- 1840 - Les Rayons et les Ombres
- 1851 - Océans Vers
- 1852 - Napoléon le petit
- 1853 - Les châtiments
- 1856 - Les contemplations - I
- 1856 - Les contemplations - II
- 1859 - La légende des siècles - Tome I
- 1859 - La légende des siècles - Tome II
- 1862 - Les Misérables - Tome I
- 1862 - Les Misérables - Tome II
- 1862 - Les Misérables - Tome III
- 1862 - Les Misérables - Tome IV
- 1862 - Les Misérables - Tome V
- 1865 - A propos de William Shakespeare
- 1865 - Les Chansons des rues et des bois
- 1867 - La voix de Guernesey
- 1869 - L'homme qui rit
- 1871 - L'année terrible
- 1874 - Quatre-vingt-treize
- 1875 - Actes et paroles - I
- 1875 - Actes et paroles - II
- 1875 - Actes et paroles - III
- 1875 - Actes et paroles - IV
- 1877 - L'art d'être grand-père
- 1878 - Le Pape
- 1880 - Hamlet (Traduction Victor Hugo)
- 1880 - L'âne
- 1880 - La Esmeralda
- 1880 - Religions et religion
- 1881 - Les quatres vents de l'esprit
- 1886 - La fin de Satan
- 1888 - Toute la lyre
- 1891 - Dieu
- 1902 - Dernière Gerbe
- 1960 - Le verso de la page (posth)
Avis d’utilisateurs
Trop long, trop lourd, aucune ergonomie
L'idée partait d'un bon sentiment, le résultat est un vrai fouillis immonde et illisible. La soit disant "table des matières dynamique" n'est autre qu'une simple table des matières classique, bien trop chargée et inexhaustive (il manque des chapitres, des sous-chapitres, etc.). Au final, cela devient illisible. Il y a trop de pages, on s'y perd, on se noie, on étouffe et l'on finit totalement écoeuré par Victor Hugo. Peut-être aurait-il fallu penser à une autre formule...